De retour dans l'univers fascinant d'Harlan Coben
Bonjour à vous!
Ceux qui lisent mon blog avec assiduité (ma Maman, Corinne et mon frère...) le savent déjà, ma rencontre littéraire avec l'univers d'Harlan Coben a été un coup de foudre monumental. Donc, lorsque je tombe sur un livre portant la mention de "Nouveauté" avec son nom écrit dessus, je me précipite. Cependant, et bien que, comme je vous le dirai plus bas, ce livre m'a plus qu'enthousiasmée, j'aurais deux petite revendications:
La première est qu'il ne s'agit pas d'une vraie nouveauté. Pour la parution en français peut-être, mais l'histoire est antérieure à "Promets-moi", son avant-dernière parution, ce qui n'est pas anodin si on considère que Coben révèle quelques-uns des tenants et des aboutissants de "Temps mort" dans "Promets-moi".
La seconde est que l'édition est truffées d'erreurs. Par moment, le pesonnage principal, à savoir Myron Bolitar, est décrit à la troisième personne et à d'autres à la première, sans raison logique. Erreur de traduction? Sans compter les fautes d'orthographe qui se balladent ici et là dans le livre. Dommage, car Harlan Coben est trop sutil écrivain pour que ses ouvrages se transforment en romans de gare...
Ceci dit, passons à l'histoire: Les fans de Myron, Win, Esperanza et la Grosse Cindy seront ravis de retrouver ici leurs héros fétiches dans une ancienne-nouvelle aventure. Myron, agent sportif, avocat et ancien basketteur professionnel, se voit confier la mission de protéger Brenda Slaughter, jeune espoir du basket féminin et pédiatre à ses heures perdues. En effet, celle-ci reçoit des menaces qui vont se concrétiser lorsque que son père disparaît. Commence alors une suite inextricables d'élémements nébuleux qui vont lier la destinée de la jeune femme à la dynastie Bradford, dont le fils aîné se présente au poste de gouverneur. Mais quel est le lien entre ces deux personnages que tout semble séparer?
Avec son humour décapant, son sens du dénouement inattendu et son art du suspense, Coben signe ici à nouveau un polar très réussi. Point de violence inutile, comme à chaque fois, mais beaucoup de cynisme et une bonne petite tension salvatrice sont les ingrédients-clé que cet auteur déjà culte sait instiller à chacun de ses livres. Ses personnages sont extêmement attachants et le final nous laisse sans voix!
Bref, on en redemande... Quitte à devenir totalement accro! Mais en fin de compte certaines addictions sont une bonne chose!
Bonne lecture.
Becs de Princesse Brunette